14 août 2017

Féminisme, ou pas féminisme ? Mon aspiration à une société dé-genrée


Féminisme : le féminisme est un ensemble de mouvements, d'idées politiques, philosophiques et sociales qui partagent un but commun :

- faire en sorte que les femmes soient les égales des hommes dans notre société.
- Egales sur le plan politique, économique, culturel, personnel, social et juridique.

On a vu des élans féministes naître au siècle des Lumières, les mouvements se sont plus formalisés à la fin du 19ème siècle. Toutefois il ne doit pas nous échapper que l'éventualité de sociétés plus justes avant cela n'est pas à écarter, loin de là.

Pourquoi faire des différences entre les hommes et les femmes ? La réponse peut paraître simple ou pas, en fait le pourquoi n'est pas simple. Le comment c'est plus facile.

06 août 2017

La dialectique du fou : 14 - De la valeur en général et des valeurs humaines en particulier

La dialectique du fou

Tout le monde connaît la diagonale. Ce truc qui en travers permet d'atteindre l'autre bout du miroir sans passer par les autres sommets.

Je voudrais vous faire partager mes élucubrations lexicales, celles de mes succès et de mes échecs. C'est la raison de ce titre thématique.

Et je poursuis cette série, qui connaîtra les épisodes que je saurai y ajouter, "à demain si vous le voulez bien", comme disait un monsieur loyal radiophonique, mais aussi si je le peux bien.


De la valeur en général et des valeurs humaines en particulier

La valeur est donc cette chose qui permet de mesurer une dimension d’un objet, d’une idée, d’une entité.

L’entité objet peut être n’importe quelle chose matérielle ou non.

Si c’est un kilo de carottes par exemple, la dimension poids, ou masse de cette entité est un kilo. La dimension quantité est peut-être 15. On a quinze carottes. Pas toutes de la même taille. En plus. Grosseurs, longueurs sont inégales.

Donc pas pratique de mesurer les carottes pour en apprécier la valeur.

La dialectique du fou : 13 - De la valeur et de la propriété en philosophie et en économie

La dialectique du fou

Tout le monde connaît la diagonale. Ce truc qui en travers permet d'atteindre l'autre bout du miroir sans passer par les autres sommets.

Je voudrais vous faire partager mes élucubrations lexicales, celles de mes succès et de mes échecs. C'est la raison de ce titre thématique.

Et je poursuis cette série, qui connaîtra les épisodes que je saurai y ajouter, "à demain si vous le voulez bien", comme disait un monsieur loyal radiophonique, mais aussi si je le peux bien.


De la valeur et de la propriété en philosophie et en économie

-Tout d'abord il faut essayer de comprendre pourquoi nous aurions besoin de déterminer la notion de valeur. Ca sert à quoi de donner une valeur ?

Au sens propre cela consiste à évaluer quelque chose. Cela peut être un objet, une personne, une idée, la chose peut être concrète ou abstraite, peu importe, mais nous voudrions en donner une estimation par rapport à un critère.

Je t'aime, un peu, beaucoup, passionnément, pas du tout : échelle de valeur.

Vous pensiez que c'est toujours affaire de fric ? Vous aviez tort !

Donc la valeur nous permet de peser, de mesurer, de représenter la manière dont nous évaluons quelque chose ... oui mais donc en mesurant ? En créant une échelle de valeur par rapport à des choses qui peuvent se comparer à cette chose que nous évaluons.

La valeur est toujours rattachée à une chose par rapport à d'autres choses.

Il y a bien entendu une notion de grandeur puisqu'il s'agit de mesurer, une notion d'unité bien souvent puisque c'est bien plus pratique d'utiliser des unités de mesure.

Donc quelle valeur puis-je accorder au kilo de carottes que je veux utiliser pour manger ?

Quelle valeur accorder à la maison qui me permet d'être à l'abri ? A la voiture qui me permet de me déplacer, ou au billet de train pour voyager ?

Comparer des carottes, des maisons, des voitures et des trains c'est compliqué.

Si on se transporte quelques millénaires en arrière, les gens n'avaient d'ailleurs pas tous ces trucs à évaluer. Peut-être avaient-ils à mesurer la valeur des choses pour du grain, de la viande, quelques objets. Une amulette, un collier, un masque, du blé ... comment évaluer ces choses pour ... pourquoi d'ailleurs.

L'idée c'est que si je possède un machin et que le voisin aime bien ça, et que lui a un bidule qui m'intéresse : ah ben oui. Forcément, je possède un machin et lui possède un truc. Et si on échangeait ?

Ah .. la belle idée.

Donc j'ai un beau collier de perles, et toi tu as une poignée de grains. On échange.

Sauf que : couillon que je suis, j'ai mon beau collier de perles qui est rare, et je vais pas le filer au voisin contre une poignée de grains alors que lui, le grain il en a trois silos pleins. Si je fais ça, je vais bouffer ce soir, et mon collier est perdu pour moi.

Ce collier il est à moi, c'est ma propriété.

Et de deux ... Ah la belle idée.

Bon : propriété ! Le truc est depuis toujours sujet à controverse. Mais en gros la propriété que des personnes ont sur les choses correspond au fait que ces choses leur appartiennent. Ils en font ce qu'ils veulent, et les autres ne peuvent rien dire.

D'un autre côté au régime Pierrafeu, le gourdin de cérémonie peut facilement être un argument qui contredit la chose.

Mon voisin  a envie de mon collier. De deux chose l'une, ou il me propose du grain en quantité suffisante, ou l'autre c'est qu'il déboule avec un tronc d'arbre, et là il m'écrabouille, prend le collier et pif paf poum ... il est proprio du truc. Si je m'en prends une à chaque fois que je lui fait remarquer qu'il me l'a volé, il reste propriétaire.

A moins que j'aille voir les keufs pour me plaindre. Sauf que, il y a quelques millénaires les keufs se planquaient même pas, ils existaient pas.

Le keuf du coin c'était gros bras.

Donc, ou bien qu'on soit pas d'accord et on peut piquer un truc à quelqu'un qui dit que c'est à lui, et le propriétaire c'est celui qui a la chose, ou alors on est d'accord que mon voisin qui a du grain et qui veut mon collier, ça fait de nous des propriétaires de choses différentes qui pourraient s'échanger.

La normalité c'est le second cas.

Reste à déterminer combien de poignées de grains il faut pour échanger contre un collier.

Une poignée ça le fait pas du tout. Si après d'âpres discussions on tombe d'accord sur le fait que mon collier vaut 1232 poignées de blé, je suis content.

Si j'ai besoin d'une poignée de blé par jour, j'en prends pour plus de 3 ans. En 3 ans mon grain sera foutu avant de l'avoir consommé.

C'est compliqué !

C'est pour ça qu'au fil du temps on a inventé l'argent, la monnaie, la valeur d'échange.

Là contrairement à d'autres types de mesures l'humanité dans sa grande sagesse n'est pas parvenue à trouver un consensus pour définir une unité. Chacun voudrait avoir la sienne.

Et pour cause ! Mon collier de perles qui 1232 poignées de blé pourrait bien en valoir plus, ou moins, c'est selon. D'abord ça dépend de la poignée. Et ça dépend si ça dépasse.

On tombe vite dans le kilo de plume qui ne pèse pas le même poids que le kilo de plomb.

Pourquoi ? Parce qu'en gros c'est pratique pour ceux qui achètent et qui vendent de se dire que le fait d'acheter ou vendre représente un effort en soi. Que le fait de garder un objet représente aussi un effort. D'ailleurs plus j'ai d'objets que je garde sans rien en faire, plus les efforts que je fais sont importants, et j'aimerai bien que tout ça finisse par avoir de la valeur.

Du moment que ces objets m'appartiennent, que j'en suis propriétaire, je suis content parce que ces objets ont une valeur que je pourrai négocier contre des poignées de grains de blé.

Dans le principe de propriété il y a une chose cachée. La propriété me donne le droit de faire ce que je veux d'un truc, mais ça me donne aussi le droit de l'échanger, ou de le vendre. Et donc la propriété confère une valeur à ce que j'ai pour le moment où je voudrais le vendre ou l'échanger.

Ah ! Oui ... vendre ! C'est vrai. On vous a pas dit ?

Vendre, acheter, c'est échanger mais au lieu d'échanger des grains de blé contre des colliers, on convertit chaque chose en valeur. Alors la poignée de blé si c'était l'unité de valeur de base, la monnaie, il en faut 1232 pour mon collier. Mais comme c'est pas très pratique on utilise des jetons, une vieille invention ça.

Les jetons en ferraille, en métal, plus ou moins grands, pour représenter des poignées de blé. C'est la monnaie.

Il y a des jetons pour 10 poignées, pour 100 poignées. C'est pratique le pognon vu comme ça. Pognon d'ailleurs est un mot qui a la même origine que poignée. Etonnant non ?

PS : Il peut apparaître pour certains lecteurs que j’ai un avis tranché qui met opposition les vilains sophistes et les gentils philosophes. Je ne suis pas dupe, mais seulement d’une foi pas tout à fait sincère : par manque de temps ou de patience scripturale. Les sophistes à l’origine, et dans un temps où la culture n’était pas encore la nôtre, étaient des savants, des professeurs qui louaient leurs talents d’orateurs souvent pour permettre de s’opposer à l’aristocratie. Au fil du temps sont apparus des philosophes qui ont trouvé que le pouvoir des sophistes devenaient exorbitant, certains au service de l’aristocratie, et d’autres rangés à la cause du peuple.

La dialectique du fou : 12 - Mais la philosophie c'est quoi en fait ?

La dialectique du fou

Tout le monde connaît la diagonale. Ce truc qui en travers permet d'atteindre l'autre bout du miroir sans passer par les autres sommets.

Je voudrais vous faire partager mes élucubrations lexicales, celles de mes succès et de mes échecs. C'est la raison de ce titre thématique.

Et je poursuis cette série, qui connaîtra les épisodes que je saurai y ajouter, "à demain si vous le voulez bien", comme disait un monsieur loyal radiophonique, mais aussi si je le peux bien.


Mais la philosophie c'est quoi en fait ?

- M'sieur, ... m'sieur, ... dessine-moi un mouton. M'sieur, ... m'sieur, ... dessine-moi un mouton.
- Ben pour quoi faire ?
- Ben pour ma chèvre !

La philosophie c'est un peu ça.

La dialectique du fou : 11 - Les voraces et les coriaces

La dialectique du fou

Tout le monde connaît la diagonale. Ce truc qui en travers permet d'atteindre l'autre bout du miroir sans passer par les autres sommets.

Je voudrais vous faire partager mes élucubrations lexicales, celles de mes succès et de mes échecs. C'est la raison de ce titre thématique.

Et je poursuis cette série, qui connaîtra les épisodes que je saurai y ajouter, "à demain si vous le voulez bien", comme disait un monsieur loyal radiophonique, mais aussi si je le peux bien.


Les voraces et les coriaces

A la base de ma pensée du jour se trouve la légende des Horaces et des Curiaces. D'après Tite-Live, durant le règne de Tullus Hostilius, selon la tradition, troisième roi de Rome entre 673 et 641 avant Jésus-Christ, les conflits entre Rome et Albe la Longue trouvèrent une issue dans un combat qui fut décidé entre trois champions de chacune des cités.

Plutôt que de lever des armées entières, les champions, en nombres égaux, devaient se rencontrer ... pour se tarter. La légende nous apprend que les Horaces romains mirent la pâtée aux Curiaces albains. Mais deux des romains périrent. Tous trois blessés les albains décidèrent de se relever et de partir en chasse vers le romain resté valide.

Ils partirent séparément et en désordre, toutefois, en raison de leur état. Baffes prises ne rendent pas vivacité d'esprit.

Publius Horatius, le survivant qui rentrait vers Rome, vit que ses trois adversaires le poursuivaient. Il fit volte face et put transformer les albains déjà éparpillés (façon) en puzzle, il y a pas si longtemps on aurait dit à la Volfoni.

La soeur de Publius Horatius était fiancée à l'un des Curiaces, et à son retour à Rome, il la tua alors qu'elle pleurait son fiancé, car, selon lui, il fallait « qu'ainsi périsse toute Romaine pleurant un ennemi ». Condamné à mort, il fut acquitté devant l'Assemblée du Peuple mais dut passer sous le joug, symbole de la soumission à la loi romaine.

La gens Horatia fut dès lors soumise à des cérémonies purificatrices.

Ouich. C'est pas top en fait ce truc. Ca se termine quand même en jus de boudin pour pas mal de gens.

De cette histoire il nous faut comprendre plusieurs choses. La première est que les lois qui régissent la Cité, les cités, la société en général, sont faites pour permettre au peuple de comprendre ce qui est possible et ce qui ne l'est pas.

Il n'est pas possible de traîner des conflits qui n'en finissent pas donc. Il faut bien en découdre. Et si on veut éviter la guerre, cette guerre qui décime les peuples, on peut toujours choisir la médiation.

Bon. La médiation à la romaine d'époque, c'est encore le système Pierrafeu avec gourdins et sauve-qui-peut. Les diplomates ne sont pas encore éduqués pour travailler au Quai d'Orsay.

La Rome antique c'était pas toc pourtant. Juste une question de temps pour arriver à de meilleurs usages. Je vous parle de ça, et ça remonte à plus de 25 siècles.

Mais en fait pourquoi se foutait-on sur la gueule à l'époque ? Et bien pour des questions de fric, de cul, pardon : d'alliances improbables, de comportements imbéciles ... mais oui, une beuverie qui se termine mal, un geste déplacé et la mer se met à bouillonner. Ou la mère, ce qui fait que le père, les frères et les soeurs, si j'avais un marteau ... vous voyez rien n'a changé.

Donc on se baffait pour les mêmes raisons qu'aujourd'hui, mais les lois étaient pas les mêmes.

De tous temps, la société a fonctionné comme ça. Il y a les voraces, qui par envie ou par besoin veulent prendre des trucs qui sont pas les leurs à la base, et les coriaces qui se laissent pas faire.

Et pour mettre tout le monde d'accord, pour essayer de limiter le bain de sang, on se rencontre, on s'asseoit, on papote, on se met d'accord et on écrit sur un beau papier le texte qui permet à tous et à chacun de savoir ce qu'on peut faire ou ne pas faire.

La loi permet donc de mettre à peu près d'accord les voraces et les coriaces. Ca sert à ça.

La dialectique du fou : 10 - C'est quoi cette bouteille d'Elée ?

La dialectique du fou

Tout le monde connaît la diagonale. Ce truc qui en travers permet d'atteindre l'autre bout du miroir sans passer par les autres sommets.

Je voudrais vous faire partager mes élucubrations lexicales, celles de mes succès et de mes échecs. C'est la raison de ce titre thématique.

Et je poursuis cette série, qui connaîtra les épisodes que je saurai y ajouter, "à demain si vous le voulez bien", comme disait un monsieur loyal radiophonique, mais aussi si je le peux bien.


C'est quoi cette bouteille d'Elée ?

Elée est une colonie grecque de l'antiquité qui fut installée en Campanie, près du Golfe de Salerne.

Les natifs célèbres de la colonie d'Elée sont Parménide, Xénophane, Zénon d'Elée, Mélisse ...

La colonie fut créée par des phocéens qui fuyaient l'invasion perse en Asie mineure.

Elle s'est implantée un peu au sud de Poseidonia, plus ancienne, et dont les vestiges actuels de Paestum sont assez tourneboulants. On y trouve encore sûrement mes traces de pas.

La dialectique du fou : 09 - La politique et la voix au chapitre

La dialectique du fou

Tout le monde connaît la diagonale. Ce truc qui en travers permet d'atteindre l'autre bout du miroir sans passer par les autres sommets.

Je voudrais vous faire partager mes élucubrations lexicales, celles de mes succès et de mes échecs. C'est la raison de ce titre thématique.

Et je poursuis cette série, qui connaîtra les épisodes que je saurai y ajouter, "à demain si vous le voulez bien", comme disait un monsieur loyal radiophonique, mais aussi si je le peux bien.


La politique et la voix au chapitre

La voix au chapitre on l'a dit il y a peu serait cette faculté de chanter avec les autres de participer au concert en tant qu'instrumentiste, que chef d'orchestre pourquoi pas ?

Et d'ailleurs, à ce propos : le chef d'orchestre ? Son rôle, son titre ?

Il est chef parce qu'il coordonne et que les musiciens sont bien d'accord. Si le chef assure bien sa mission, le public entendra sans doute une belle exécution.

La dialectique du fou : 08 - Ethique et idéal

La dialectique du fou

Tout le monde connaît la diagonale. Ce truc qui en travers permet d'atteindre l'autre bout du miroir sans passer par les autres sommets.

Je voudrais vous faire partager mes élucubrations lexicales, celles de mes succès et de mes échecs. C'est la raison de ce titre thématique.

Et je poursuis cette série, qui connaîtra les épisodes que je saurai y ajouter, "à demain si vous le voulez bien", comme disait un monsieur loyal radiophonique, mais aussi si je le peux bien.


Ethique et idéal

Platon a énoncé que le bien et le mal repose sur une dichotomie entre le monde idéal, le monde des idées, et un monde moral. La morale est ce qui s'applique le mieux possible aux idéaux.

La morale appartient aux humains et l'idéal aux dieux dans le monde platonicien.

Epicure a formulé les choses différemment en prenant les choses sous l'angle du bon et du mauvais. Il a souhaité faire abstraction de l'idéal, pour exprimer les résultats souhaités des actions et en mesurer les effets. C'est la base de l'éthique qui est proprement humaine et ne vise pas à s'exprimer par rapport aux idéaux.

La dialectique du fou : 07 - Les démiurges et la politique

La dialectique du fou

Tout le monde connaît la diagonale. Ce truc qui en travers permet d'atteindre l'autre bout du miroir sans passer par les autres sommets.

Je voudrais vous faire partager mes élucubrations lexicales, celles de mes succès et de mes échecs. C'est la raison de ce titre thématique.

Et je poursuis cette série, qui connaîtra les épisodes que je saurai y ajouter, "à demain si vous le voulez bien", comme disait un monsieur loyal radiophonique, mais aussi si je le peux bien.


Les démiurges et la politique

A l'origine du mot démiurge que trouve t-on ?

On aurait pu dire demie urge, ce qui pourrait laisser croire qu'il n'y a pas le feu au lac, ou quelque chose comme ça.

Non, point ! Les faux amis nous tromperont toujours.

La dialectique du fou : 06 - Envie et désir

La dialectique du fou

Tout le monde connaît la diagonale. Ce truc qui en travers permet d'atteindre l'autre bout du miroir sans passer par les autres sommets.

Je voudrais vous faire partager mes élucubrations lexicales, celles de mes succès et de mes échecs. C'est la raison de ce titre thématique.

Et je poursuis cette série, qui connaîtra les épisodes que je saurai y ajouter, "à demain si vous le voulez bien", comme disait un monsieur loyal radiophonique, mais aussi si je le peux bien.


Envie et désir

Nous avons vu l'envie face au besoin, regardons la face au désir.

Je vous envie, vous qui avez la science, et moi qui ne sait rien je m'interroge. J'ai envie de savoir, de connaître, de comprendre. Je peux être envieux de ce que vous savez. Ou encore penser que vous en savez tellement que ce n'est pas justice.

La dialectique du fou : 05 - Besoin et envie

La dialectique du fou

Tout le monde connaît la diagonale. Ce truc qui en travers permet d'atteindre l'autre bout du miroir sans passer par les autres sommets.

Je voudrais vous faire partager mes élucubrations lexicales, celles de mes succès et de mes échecs. C'est la raison de ce titre thématique.

Et je poursuis cette série, qui connaîtra les épisodes que je saurai y ajouter, "à demain si vous le voulez bien", comme disait un monsieur loyal radiophonique, mais aussi si je le peux bien.


Besoin et envie

Philosopher oblige souvent à regarder les choses en face. Enfin c'est une façon de parler.

Quand vous avez envie de faire vos besoins, quelles sont vos émotions, quels sont vos actes ?

Le besoin est lié en principe à l'urgence de réaliser ou de faire quelque chose. Quelle que soit la raison, ou sans raison, j'ai besoin d'un résultat, d'un effet, de comprendre, de faire ou de défaire et je dois entreprendre une action qui aura pour effet d'obtenir ce que je souhaite.

La dialectique du fou : 04 - Mesure et démesure

La dialectique du fou

Tout le monde connaît la diagonale. Ce truc qui en travers permet d'atteindre l'autre bout du miroir sans passer par les autres sommets.

Je voudrais vous faire partager mes élucubrations lexicales, celles de mes succès et de mes échecs. C'est la raison de ce titre thématique.

Et je poursuis cette série, qui connaîtra les épisodes que je saurai y ajouter, "à demain si vous le voulez bien", comme disait un monsieur loyal radiophonique, mais aussi si je le peux bien.


Mesure et démesure

Ce qui se mesure est ce qui peut être décrit selon une dimension particulière.

Je mesure une longueur, un poids, une durée ... des mètres, des grammes, des secondes.

On mesure en fait selon des dimensions bien spécifiées, avec des unités de mesure qui sont en nombre parfaitement connu, limité, et admis universellement. Le système international d'unités prévoit tout. Tout ce qui peut se mesurer.

La dialectique du fou : 03 - Prendre et laisser

La dialectique du fou

Tout le monde connaît la diagonale. Ce truc qui en travers permet d'atteindre l'autre bout du miroir sans passer par les autres sommets.

Je voudrais vous faire partager mes élucubrations lexicales, celles de mes succès et de mes échecs. C'est la raison de ce titre thématique.

Et je poursuis cette série, qui connaîtra les épisodes que je saurai y ajouter, "à demain si vous le voulez bien", comme disait un monsieur loyal radiophonique, mais aussi si je le peux bien.


Prendre et laisser

Je prends, je donne.

On dirait que ces deux actions sont complémentaires. Prendre c'est recevoir ? Et donc le contraire c'est donner !

Et bien non. Prendre n'est pas recevoir. D'abord je peux prendre une tuile sur le carafon. Je ne la reçois pas en vérité, mais je la prends quand même. Mais ça c'est une version presque moderne de l'action de prendre.

La dialectique du fou : 01 - Echange et partage

La dialectique du fou

Tout le monde connaît la diagonale. Ce truc qui en travers permet d'atteindre l'autre bout du miroir sans passer par les autres sommets.

Je voudrais vous faire partager mes élucubrations lexicales, celles de mes succès et de mes échecs. C'est la raison de ce titre thématique.

Et je commence cette série, qui connaîtra les épisodes que je saurai y ajouter, "à demain si vous le voulez bien", comme disait un monsieur loyal radiophonique, mais aussi si je le peux bien.


Echange et Partage

C'est quoi ces deux mots ? Et pourquoi en possédons nous deux pour parler de trucs qui nous paraissent parfois proches, parfois semblables, et pourtant pas ?

Echanger c'est mettre une chose pour une autre, sans modifier l'ordre des choses.

Partager c'est mettre des choses que l'on peut prendre ou laisser selon les règles qu'on a choisi d'appliquer.

La dialectique du fou : 02 - Donner et recevoir

La dialectique du fou

Tout le monde connaît la diagonale. Ce truc qui en travers permet d'atteindre l'autre bout du miroir sans passer par les autres sommets.

Je voudrais vous faire partager mes élucubrations lexicales, celles de mes succès et de mes échecs. C'est la raison de ce titre thématique.

Et je poursuis cette série, qui connaîtra les épisodes que je saurai y ajouter, "à demain si vous le voulez bien", comme disait un monsieur loyal radiophonique, mais aussi si je le peux bien.


Donner et recevoir

Donner c'est faire que quelque chose qui est en moi ou qui est convenu être à moi devienne la chose d'une autre personne.

Je peux donner l'heure. Est-ce que l'heure m'appartient ? Bien sûr que non. Mais si c'est ici non pas l'heure en elle-même que je donne, c'est l'information de l'heure qu'il est.

La dialectique du fou : le sommaire

La dialectique du fou

Tout le monde connaît la diagonale. Ce truc qui en travers permet d'atteindre l'autre bout du miroir sans passer par les autres sommets.

Je voudrais vous faire partager mes élucubrations lexicales, celles de mes succès et de mes échecs. C'est la raison de ce titre thématique.

05 août 2017

La valeur travail ? Quelle bonne blague, ou plutôt quel piège à con-ceptualisation

Publié pour le compte de François Marandet 

I) LE CONCEPT :

Nous avons souvent été bassinés avec la « Valeur Travail », surtout par des gens venant de la droite du PS (pour discréditer le Revenu Universel d'Existence prôné par Benoît Hamon), mais aussi venant de la droite traditionnelle, (avec pour eux peut être l'idée chrétienne de rédemption par le travail, le mot travail venant de « tripalium », instrument de torture de l'époque romaine), bref, c'est un concept utilisé fréquemment, avec en général une idée sous-jacente moralisatrice et culpabilisante.

Au café du commerce, il n'y a que les godets pleins qui rapportent sans ficelle

Pour deux francs et pas un saoul ... - Je regarde cette putain de carte avec ses points rouges. Elle a la chtouille. On a beau dire, ...