Un hacktiviste, probablement un anti-capitaliste, est en train de faire péter la tirelire planétaire !
L'air de pas y toucher, y a des moments où on est en droit de se demander si certains pro-éminents personnages ne s'adonnent pas à la snifette ?
La "première puissance économique du Monde" est capable de filtrer le mexicain ou le chinois, entre autres, pas de prendre en charge un problème de santé sur son propre territoire. La seconde puissance économique du Monde a montré ses limites, en Chine, les frontières sont déjà fermées, l'épidémie stabilisée, en apparence, mais le virus est bien là, et sans remède pour un certain temps. Pour ce qui est de la "première puissance économique de fait", l'Europe, nous sommes bien entendu ... pas mieux, l'avenir à court terme va le montrer, les frontières vont, là aussi, être l'objet des premiers réflexes. Ce qui est d'une inutilité profonde, vu que c'est trop tard pour limiter la dispersion du coronavirus.
Mieux que les nouveaux duettistes à la mode, le couple Momo - Vlad, qui se vident mutuellement les bourses au vu de tout le monde, la galaxie des sports de cons bas nous offre un pestacle ébouriffé avec un round d'enfer en solo et contre lui-même, vous en avez rêvé, l'Amérique l'a fait, un combat solitaire, avec un branleur qui arrive à se faire tomber lui-même. En prenant une décision, un peu sauvage, de fermeture des frontières, fort mal "communiquée", l'Agent Orange vient de commettre la bourde la plus chère de toute l'histoire des États-Unis, le monde avait les bourses enrhumées, maintenant elles toussent.
Mais qu'est-ce que t'as Dodo dis-donc ! Oh vas-y, c'est bon, bon ...
Bon, c'est vrai que, chez Trump, dans bangala y a des bulles, y a pas que de l'eau ... ça va tanguer un peu partout, un tango pas qu'à Paris, va falloir ressortir le beurre, mais sans l'argent qui va avec pendant quelques temps.
C'est là, peut-être, que les européens devraient en profiter pour devenir un peuple ... un peuple oui, intelligent de surcroît, en mettant un blâme à tous ses dirigeants présents et en s'emparant à nouveau d'une démocratie confisquée.
Les fermetures de frontières vont se multiplier. Celle prononcée par Trump, qui porte sur les personnes et pas les biens, a un effet très intéressant sur les marchés financiers ... marchés qui se foutent complètement des frontières et des personnes en règle générale. Ils baissaient ces derniers jours, dangereusement, ils baissent encore, dramatiquement, et ça va s'amplifier, vu que la pandémie n'a pas annoncé qu'elle se terminait dès demain, le virus a un côté un peu cabotin.
Cette réaction américaine est probablement annonciatrice de brutalités politiques, et sans doute, et conséquemment policières si affinité, durcissement des méthodes qui s'appliquera, même si ça n'a rien à voir, partout sur Terre ou passe le virus ... en gros il n'y aura provisoirement que la Lune et Mars qui seront épargnées !
La trouille du système, la pétoche des acteurs financiers est simple, basée sur les risques évidents portés sur la consommation, la production, les flux de l'argent facile ... les coûts liés à la santé, aux assurances ...
Il est probablement venu le bon moment pour préparer un retour de bâton, du côté des troupeaux de consommateurs, ça va finir par sentir bon les cerisiers en fleurs.
A ce stade de l'épidémie, les chefs d’État en place ont perdu toute chance de réélection. Il reste à trouver le moyen de pas embaucher un guignol ou une schtroumpfette, faut pas confondre l'univers des marionnettes et des BD avec celui qui nous entoure pour de vrai.
On espère que ces prochaines semaines ne seront pas l'occasion de nous déclencher quelques petites guerres bien réelles dans des endroits jusqu'ici encore un peu paisibles.
Au milieu de tout ça, on a une planète à sauver, pas mal de gens à secourir un peu partout, un avenir à écrire, et qui devrait pas ressembler à celui qui nous est promis maintenant. Outre le fait d'apprendre à vivre avec de nouveaux problèmes, il faut aussi tenter de poursuivre la route avec de nouvelles solutions, à ne pas choisir dans le catalogue des marchands du temple.
Restons Vent debout, tous ensemble, tous ensemble.
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